Etape n°10 | 26 sept. 2000 | Chartres - Maintenon | 19 km | 7 participants |
L'équipe du jour : Michel Blondeau, Marcel Lancelot, Mme Chardon, Mme Supiot et son fils Clément, C. Blanchard, Monique Viel
Aujourd'hui, c'était une étape de 19 km seulement (comparé aux 32 km de la veille !) que nos marcheurs ont parcouru allègrement, toujours accompagnés de la gendarmerie qui veillait à leur sécurité. Tout le monde est arrivé à bon port sur les coups de 16h. La population rencontrée, au fil des étapes, est toujours réceptive à la démarche des Cactusiens et lui manifeste son soutien en signant des pétitions et en discutant avec nos marcheurs.
Les échos dans les médias :
L'association CACTUS continue de faire parler d'elle dans les médias. C'est donc qu'il y a interrogation et débat...
- Le Courrier de l'Ouest du mardi 26 septembre a titré : "80% des Angevins jugent "très important" le contournement autoroutier".
- Ouest France du mardi 26 septembre a titré : "Le maire très ferme sur l'A11".
Dans ces deux articles, les journalistes
rapportent les propos de Jean-Claude Antonini lors du premier conseil municipal de
rentrée : " tout retard apporté à la réalisation du contournement
nord est - je pèse mes mots - un acte homicide. Bien entendu, je nuancerais ce
raisonnement si j'avais la conviction que votre solution apporte des améliorations
évidentes au projet. "
Ces propos trahissent bien l'ignorance de Jean-Claude Antonini du projet de tunnel
présenté par CACTUS et qui est soutenu par des experts internationaux
mondialement connus comme Maurice Etienne, Paul Chemetov ou encore Makan Rafadjou !
Roselyne Bachelot, député RPR, qui a étudié sérieusement
le projet défendu par CACTUS et qui soutient le projet de tunnel a vivement réagi aux
propos de Jean-Claude Antonini : " nous sommes pour le contournement Nord, ce qui ne
veut pas dire dans ses modalités actuelles. La solution proposée par Cactus mérite
d'être étudiée et c'est bien ce que fait M. Gayssot. Parler d'homicide est
extrêmement exagéré, d'autant qu'il y a moins d'accident lorsque la
circulation est engorgée. Vous culpabilisez les gens".